Dans les années 1960, une personne d’Amnesty International distribuait des papiers avec des adresses, dont celle d’un prisonnier au Vietnam. C’était un de mes premiers envois. Quand un prisonnier reçoit du courrier, c’est qu’il existe, sinon on ne s’intéressera pas à lui. Parallèlement, en 1962 l’artiste américain
Ray Johnson a fondé l’école d’art et de correspondance à New York. Il en fait un réseau d’artistes du monde à qui il envoie quelque chose qu’il faut lui retourner. C’est le « Add to and return » mais ces réseaux sont confidentiels. Moi je continue mon art postal, j’ai un tout petit réseau. Les artistes avaient pris l’habitude d’envoyer des cartes depuis l’étranger. J’ai commencé avec un ami à qui j’ai donné des cartes que j’avais faites. Quand il est allé au Liban, il me les a renvoyées avec un timbre du pays. Puis on a eu un vrai réseau. On peut dire que j’ai commencé officiellement le Mail art dans les années 1970.
Dans les années 1960, une personne d’Amnesty International distribuait des papiers avec des adresses, dont celle d’un prisonnier au Vietnam. C’était un de mes premiers envois. Quand un prisonnier reçoit du courrier, c’est qu’il existe, sinon on ne s’intéressera pas à lui. Parallèlement, en 1962 l’artiste américain
Ray Johnson a fondé l’école d’art et de correspondance à New York. Il en fait un réseau d’artistes du monde à qui il envoie quelque chose qu’il faut lui retourner. C’est le « Add to and return » mais ces réseaux sont confidentiels. Moi je continue mon art postal, j’ai un tout petit réseau. Les artistes avaient pris l’habitude d’envoyer des cartes depuis l’étranger. J’ai commencé avec un ami à qui j’ai donné des cartes que j’avais faites. Quand il est allé au Liban, il me les a renvoyées avec un timbre du pays. Puis on a eu un vrai réseau. On peut dire que j’ai commencé officiellement le Mail art dans les années 1970.Dans les années 1960, une personne d’Amnesty International distribuait des papiers avec des adresses, dont celle d’un prisonnier au Vietnam. C’était un de mes premiers envois. Quand un prisonnier reçoit du courrier, c’est qu’il existe, sinon on ne s’intéressera pas à lui. Parallèlement, en 1962 l’artiste américain
Ray Johnson a fondé l’école d’art et de correspondance à New York. Il en fait un réseau d’artistes du monde à qui il envoie quelque chose qu’il faut lui retourner. C’est le « Add to and return » mais ces réseaux sont confidentiels. Moi je continue mon art postal, j’ai un tout petit réseau. Les artistes avaient pris l’habitude d’envoyer des cartes depuis l’étranger. J’ai commencé avec un ami à qui j’ai donné des cartes que j’avais faites. Quand il est allé au Liban, il me les a renvoyées avec un timbre du pays. Puis on a eu un vrai réseau. On peut dire que j’ai commencé officiellement le Mail art dans les années 1970.Dans les années 1960, une personne d’Amnesty International distribuait des papiers avec des adresses, dont celle d’un prisonnier au Vietnam. C’était un de mes premiers envois. Quand un prisonnier reçoit du courrier, c’est qu’il existe, sinon on ne s’intéressera pas à lui. Parallèlement, en 1962 l’artiste américain
Ray Johnson a fondé l’école d’art et de correspondance à New York. Il en fait un réseau d’artistes du monde à qui il envoie quelque chose qu’il faut lui retourner. C’est le « Add to and return » mais ces réseaux sont confidentiels. Moi je continue mon art postal, j’ai un tout petit réseau. Les artistes avaient pris l’habitude d’envoyer des cartes depuis l’étranger. J’ai commencé avec un ami à qui j’ai donné des cartes que j’avais faites. Quand il est allé au Liban, il me les a renvoyées avec un timbre du pays. Puis on a eu un vrai réseau. On peut dire que j’ai commencé officiellement le Mail art dans les années 1970.
Le Mail art au fil du temps
Rémy Pénard retrace sa pratique du Mail art, des années 1970 à nos jours.
Quel a été le déclic pour vous lancer dans le Mail art ?